Cavaliers d’extérieur, nous devons affronter les rigueurs du climat avec l’équipement adapté. A cet égard une erreur se paie cher, surtout si on subit la pluie et le froid durant de longues heures.
Nous allons donc nous situer dans cette perspective. L’ayant expérimenté au quotidien depuis plus de 20 ans, je vous propose ici un petit retour d’expérience. Schématiquement, on utilise le principe de l’oignon, pour lutter contre la pluie et le froid, c’est à dire plusieurs couches, qui vont laisser passer (un peu…) l’air et évacuer la transpiration.
Comme pour une maison, on a d’abord la source de chaleur, puis l’isolant thermique et enfin une structure extérieure qui protège de la pluie. Quels vont être les critères de choix ?
1 L’étanchéité
Cela concerne la couche extérieure et c’est le plus important : un vêtement même chaud devient inopérant s’il pêche à ce niveau-là.
2 L’effet « respirant »
Cela concerne surtout les premières couches, notamment les sous-vêtements. Nous devons parfois nous activer, donc transpirer. Il faut alors que le vêtement laisse passer l’excédent de chaleur et sèche très vite : si on reste des heures dans un tee shirt humide, l’hypothermie guette.
3 La solidité
Nos activités peuvent mettre les vêtements à rude épreuve. Leur solidité est importante car une fois troués ou déchirés ils laissent passer le froid et l’humidité (en plus de faire un brin négligé).
4 L’effet isolant thermique
Cela concerne toutes les couches, en particulier les premières.
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