Le métier de transporteur de chevaux est avant tout celui de transporteur de marchandises. Le cursus de formation concerne celui du simple chauffeur comme celui du chef d’entreprise de transport. C’est le ministère des transports qui gère cette activité.
Il faut tout d’abord faire la différence entre du transport effectué pour son propre compte, pour son cheval personnel ou même celui d’un ami, mais où il n’y a pas de rémunération et le transport rémunéré.
Dans ce cas, les contraintes sont celles de toute activité de transport : permis de conduire, assurance des véhicules, papiers des chevaux. Il n’en faut pas plus, bien qu’il faille s’assurer du bon état du véhicule tracteur et du van.
Un bon conseil : habituez votre cheval à monter dans le van ou votre camion car il n’y a rien de plus déprimant (et énervant) qu’un cheval qui refuse de monter. En premier lieu, il faut expliquer que l’Europe a fait pression pour que le bien-être des animaux soit pris en compte d’une façon totalement efficace. Il nous faut préciser que plusieurs cas de figure peuvent se présenter :
- On transporte des chevaux pour son propre compte.
- On les transporte pour d’autres mais sans être employé.
- On transporte des chevaux dans le cadre d’un centre équestre.
- Enfin on transporte des chevaux en tant que professionnel du transport.
On doit également faire la différence entre un van attelé, un camion de moins de 3.5 t et un camion de plus de 3.5 t.
La nouvelle réglementation de 2013 sur le remorquage stipule que le poids total roulant (PTRA) devait initialement être pris en compte mais c’est finalement le cumul total des poids (PTAC) (véhicule tracteur et remorque) qui est pris en compte depuis le 19 janvier.
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